LINKA rebours "Markus LUPERTZ au MAMVP"
Publié le 3 Juin 2016
Retour sur la grande exposition du printemps / été 2015 au MAM de la Ville de Paris consacrée au peintre allemand MARKUS LUPERTZ,
suite à l'annonce en décembre dernier du vol de plusieurs oeuvres dans l'atelier de l'artiste de Postdam (voir la news concernant "l'atelier de Markus Lüpertz" ci-dessous).
/image%2F1236293%2F20160105%2Fob_a972e9_20150602-174613.jpg)
L'atelier de l'artiste Markus LUPERTZ - (broken) linka Eva
L'information a été annoncée mi-décembre dernier (voir l'article du site "exponaute" ci-dessous), plusieurs oeuvres ont été volées dans l'atelier de Postdam de l'artiste Markus LUPERTZ. On v...
http://linkaewa.over-blog.com/2016/01/l-atelier-de-l-artiste-markus-lupertz.html
Ce "Linka rebours" porte bien son nom puisque l'exposition se déroule elle-même à rebours.
Extrait du dossier de presse :
"L’exposition réunit ici près de cent quarante oeuvres emblématiques dans un parcours chronologique à rebours, de sa production la plus récente à ses débuts. Elle permet de redécouvrir un travail qui instaure un dialogue singulier entre la peinture et la sculpture, le figuratif et l’abstrait, le passé et le présent, offrant ainsi une nouvelle lecture de l’histoire de l’art moderne.
Grâce à la généreuse donation effectuée par Michael Werner en faveur de la Ville de Paris en 2012, le musée d’Art moderne possède aujourd’hui une importante collection de peintures et de sculptures de Markus Lüpertz. Cette première grande rétrospective française resitue ces oeuvres dans le contexte d’une production artistique extrêmement riche et originale, réalisée sur plus d’un demi-siècle."
Entrée de l'exposition
« Arcadies », 2013-2015 et « Nus de dos », 2004 -2005
Mozart !
"Le sourire mycénien", 1985
Extrait du dossier de presse :
"C’est à partir des années 1985 que Markus Lüpertz revisite les grandes figures de l’histoire de l’art tels Poussin, Corot, Goya, Courbet, etc. et notamment en empruntant leur iconographie à ces illustres peintres. Pour cela, il recourt à l’utilisation d’un fragment issu d’un tableau ancien, et le réinsère dans un contexte nouveau, en exploitant alors le procédé du collage. Ainsi dans le tableau Poussin – Stilleben, 1989, il représente dans une composition de formes semi-abstraites le fragment d’une reproduction découpée. Il indique la source en écrivant directement sur le tableau : The return from Egypt."
Voir le tableau ci-dessous.
"Congo", 1981-1982
Les 3 dernières parties, "Peinture de style, 1977-1978", "Motifs allemands, 1970-1976" et "Peinture dithyrambique, 1963-1976" sont un peu mélangées dans les 3 dernières grandes salles de l'exposition !
Dernière salle !