PICASSO Mania au Grand Palais 1ère partie
Publié le 16 Janvier 2016
Arrivée devant le Grand Palais où Pablo nous attend !
Entrée dans l'expo Picasso Mania.
Je suis accueilli par ce mur d'images animées représentant certains des artistes présents dans les salles.
Durant la période bleue, l'une des plus appréciée, Picasso cherche moins à reproduire le monde qui l'entoure qu'à en livrer une vision déjà très personnelle
En bas, Maurizio Cattelan "Sans titre (Picasso)", oeuvre-poupée imaginée pour une performance au MoMa de New-York. En haut à droite, Yan Pei-Ming "Portrait de Picasso en 2009". L'oeuvre en haut à gauche est une huile sur toile, et non une photographie comme on pourrait le penser !
Picasso Cubisme ... En bas, le magnifique "Guitare, j'aime Eva" de l'été 1912 (ca ne s'invente pas ;-))
Le tableau à gauche "Femme aux mains jointes (études pour les demoiselles d'Avignon)" de 1907
Copies des demoiselles d'Avignon, l'original n'ayant pas le droit de quitter le MoMa de New-York ! En haut, Mike Bidlo "Not Picasso (Les Demoiselles d'Avignon)" de 1984; En bas à gauche, Robert Colescott "Les Demoiselles d'Alabama" de 1985
Sigmar Polke "Untitled 2006"
Ici, un groupe de "demoiselles", aussi suggestives et maltraitées que leurs modèles auxquels il est clairement fait allusion
En haut à gauche, Jeff Koons "Antiquité (Uli)" de 2011; à droite Malcom Morley "Berceau de la civilisation avec femme américaine"; en bas , Richard Prince "Untitled, Picasso" de 2011
Texte dans l'expo :
"Dans ce collage pictural, Jeff Koons décompose ce que Picasso assemblait dans les Demoiselles d'Avignon (1907). Il associe les images d'une Aphrodite romaine (New-York, Metropolitan Museum), d'une sculpture de Papouasie Nouvelle-Guinée (XVIIè - XIXè siècle, Paris, Musée du Quai Branly) et d'une version de Vénus et Adonis de Titien (vers 1553, Madrid, Musée du Prado), le tout recouvrant un baiser (1969) de Pablo Picasso.
Abdel Abdessemed "Qui a peur du grand méchand loup ?" de 2011-2012
L'oeuvre monumentale d'Abdessemed a les mêmes dimensions que Guernica. Ici, le drame de la guerre a laissé place au massacre animal